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Affichage des articles du juillet, 2024

Bulletins météos #2 #3 #4

# Météo voyageuse d’affaire jetlaguée. Pays basque rêvé sur les coups de onze heures Joindre les deux bouts à La Rochelle sur les coups de midi. Aprem passé à force de “prenez la journée pour y réfléchir”  Sur les coups de cinq heures Libourne un porto appeler le mari Des cacahuètes non ce sera tout merci. La terre a tourné le soleil s'est couché. # Météo par tranche de deux heures ces temps-ci.  Envie de poste à responsabilité 4 à 6  Transgresser la loi 6 à 8 Simplement faim 8 à 10. # Temps agité sur le pays. On conservait un temps bien gris mercredi mais ce jour bien perturbé avec des passages nuageux sur la moitié France du monde Avec des pointes dépassant l’entendable.  Les hommes et les femmes habitant l’Elysée paraissent outrepasser les normales de saison dans le plus grand des calmes.

JUIN 2024

Antoine Emaz parle de cet "appel de vivre" qu'on peut ressentir parfois. David Abraham,"Écrire est une entreprise étrange, qui nous embarque dans des moments de délire splendide et d’autres de perplexité interdite, et de là nous fait passer par des étendues de calme et de concentration productive." Le pèse-nerf , Antonin Artaud, remarquable c’est comme un bain, dit Laura Vazquez dans BookMakers, "je suis dans un bain, j’écris longuement" La poésie, "le premier millimètre d’air au dessus de la terre", Marina Tvetaïeva Emily Dickinson "quand je lis de la poésie, c’est comme si le haut de mon crâne s’ouvrait" Parce que le poème, c’est l’inconnu. Alors écrire un poème c’est écrire ce qu’on ne sait pas, il y a donc forcément une rencontre au bout de ça, on aura plongé dans l’absence d’un savoir, on aura fait face à sa propre ignorance. Peut-être que derrière le mot “poésie” il y a un espoir – mais je ne me dis jamais que j’écris “de la p

et l’an 2024

 je vois les gens pas dehors dans leur rue, ils s’entraînent à mieux ignorer quoique sentiment moi je tente d’ignorer, je vois que je n’en suis pas capable. et l’an 2024, sur le pas de la porte, qui la ferme. abandonne je t’en prie tes réserves de détestations pour ne pas jouer à l’extérieur le Classico trop prévu et l’an 2024 qui achète ses places. tu as peur de passer la balle alors qu’il y a des coéquipiers dans l’adversité lorsque ton crâne oublie qu’il a trente mille ans et que l’an 2024 ne peut pas ne pas ouvrir l’encyclopédie je sens les grilles qui se prennent pour des trônes si bien que tout pourrait ressembler à une cible et que l’an 2024 semble adorer les lignes droites. adopte un langage plus humains je te prie quand on sait qu’une famille est avant tout se lier à un autre que soi et l’an 2024 qui met un drapeau en guise de cache-oeil tu as l’indécence d’être plus bavard que de mal en pie lorsque l’étendue d’eau qui te compose croît dans la menace et que l’an 2024 oublie de