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Il arrière au mitan Elle chaosse noir et blanc

Je l’oreille durement Je l’immense forcément

Il soi-même et comment Elle souvenire vivement

Je laideure en chantant Je papière du vivant

Il tempse bourdonnant Elle malheure trop souvent

Je sense très très blanc Je filamente maintenant

Je monsieure au matin Je payse le matin.

Le soir j’organe lyriquement Le soir je seule intensément

Il soiffe jubilant Elle oblique, affolant

Il froide soi-disant Elle loie silencément

Il colline, il, aimant Elle montagne, elle,



disparaissant.

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Je veux que tu restes longtemps mon maintenant.

Fissure dans roche. Je suis devant fissure dans roche. Grimper l'état actuel du tout dire. Tu es fauteuil. Je suis dehors. J'aime je crois la fissure. J'use je vois la blessure de nous. Elle est, et en même temps, elle a. Orienter anatomiquement le tenir. Je tourne autour je tourne autour tu. Tu es dans fauteuil. Fissure dans velours.  Tu tournes autour tu tournes autour je. Mais sans bouger. Je ne veux pas imaginer ton squelette. Tu ne bouges tellement plus que je ne te vois plus. Que je ne vois plus notre blessure. Cachée dans fissure dans roche la blessure peut-être ? Il n'y a pas d'ophtalmologie de la vie. Il n'y a pas d'ophtalmo du cœur. Géologiquement nos âmes comme des brèches. On s'y lance, viens on y va, tu me dis "va" "va" "va" "va" Variable ou immuable minéralité de l'attente joyeuse de tes bras. Tu es la personne la plus maintenant que je connaisse. Tu es mon maintenant depuis longtemps maintenant. ...

Tu fenêtres enfin.

Un sol mou.  J'ouvre les bras. J'enfonce les pieds. J'ai froid. Je chante. Je coeur. Je poème. Je peux, peins, pars, non pars pas. Je reste, ris, rame, rate. Réellement je réelle. Je vrai, vire, vois, vite. Vers toi je vais. Tu es, haut, haie, eau. Tu rivières ma rivière. Tu es réel. Tu vis vibre et vocifère.  Je porte en fer, tu fermes.  Tu ouvriras. Tu fenêtres enfin. Mon soleil soleille.  Je canapé, je sucre, tu sel. Nous, paix.

FÉVRIER 2025

Reconnaître décembre que lorsqu’il est froid Dans nos cerveaux il y a des coins qu’il faut ouvrir pour aller loin J’ai vu des pays au fond de tes yeux, c’était un sol que ne consume jamais le feu pour la magie, c’est comme tu veux, les routes sont des reines qu’on fait à deux  “Je n’ai que deux mains et le sentiment du monde” Carlos Drummond de Andrade “La lune ne brille pas pour les chiens” Sylvain Tubard Je joue déjà en écrivant Notre boulot, retisser les images de l’inconscient collectif L’imaginaire d’abord Je dois jouer à l’intérieur de mon sujet Être autrice, c’est faire des recherches dans mon cerveau Capter du matériel onirique Ecouter les parasites Chercher en soi sa niaiserie Le suspens émotionnel Protection, permission, puissance Allumer l'étincelle de la connerie