Pour une fois qu'il est là, le soleil, ça mérite d'être nommé. Il passe devant chez moi, c'est où chez toi, un peu plus loin. J'ai lu dans vos pensées sans ratures. Il ne faut pas oublier les paroles du chant de notre vie. J'ai beaucoup de papiers en moi. Je m'en souviens mieux en couleurs. Il est revenu épuisé, je siffle, il grandit. J'ai déjà donné mon vers au berger. Regarde les pousses du rosier. On est nombreux, et c'est bien. Je n'ai plus envie de penser à ça. Le temps, tu vois le temps ? Et bien, ça n'existe pas. Le temps n'existe pas. J'ai mal au bras et il y a des vautours par ici. Rapprochez-vous. Voyez s'il y a du coton, du chanvre, n'importe quoi. Rêvez, cette nuit, SVP.
Beaucoup de musique ce mois-ci. Beaucoup de rythme en moi. Je deviens musique par endroits. https://youtu.be/fI3gQo_SFK0?si=rMn1tqggBI0nGEk- https://youtu.be/HmLk2vSXXtk?si=_eokDMz_Wm_yM1IW https://youtu.be/pxr22ih0r9A?si=SwWYc1A4EnMlX4g1 On regarde autour de soi et on voit un monde impénétrable, incompréhensible. Alors, soit on lève le poing, soit on dit Hallelujah. J’essaie de faire les deux. - Leonard Cohen. Je crois que je prie quand je lis. Je m’y attendais pas à celle-là. Il ne me reste plus que moi à devenir. II dit que je devais faire très atten tion car si la vie s'écoulait apparemment comme un fleuve, des montagnes vers la mer, elle courait en même temps dans le sens inverse remontant vers sa source. - Abel de Baricco Il est des effondrements qui sont immobiles. - Cedric Le Penven Toutefois Pour aussi dérisoires qu'on soit Vivre est une grâce - Christophe Manon Lorsque l’on apprécie la solitude, on apprécie la compagnie des autres sa...
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