Dans une sorte de rapport au monde qui peut rappeler, malgré les différences culturelles, celui des chamanes, la poétesse incorpore en son être les choses sans hiérarchisation : le sale, le circulaire, l’air, le chaud, le froid, la lumière, le bulbe, la maison, le mouvement, la durée, la métamorphose ou le protéiforme, le rythme, la fente, le liquide, la fibre, la noirceur, la maladie. Elle ne choisit pas entre tout ça, elle accumule, palimpseste, des relations à tous ces motifs qui font la grande planète. Son corps est un système dans le système qui instaure une poétique de l’espace pour y déceler des intentionnalités multiples, entrer en relation avec celles-ci afin de tenter d’accéder à l’invisible.
Beaucoup de musique ce mois-ci. Beaucoup de rythme en moi. Je deviens musique par endroits. https://youtu.be/fI3gQo_SFK0?si=rMn1tqggBI0nGEk- https://youtu.be/HmLk2vSXXtk?si=_eokDMz_Wm_yM1IW https://youtu.be/pxr22ih0r9A?si=SwWYc1A4EnMlX4g1 On regarde autour de soi et on voit un monde impénétrable, incompréhensible. Alors, soit on lève le poing, soit on dit Hallelujah. J’essaie de faire les deux. - Leonard Cohen. Je crois que je prie quand je lis. Je m’y attendais pas à celle-là. Il ne me reste plus que moi à devenir. II dit que je devais faire très atten tion car si la vie s'écoulait apparemment comme un fleuve, des montagnes vers la mer, elle courait en même temps dans le sens inverse remontant vers sa source. - Abel de Baricco Il est des effondrements qui sont immobiles. - Cedric Le Penven Toutefois Pour aussi dérisoires qu'on soit Vivre est une grâce - Christophe Manon Lorsque l’on apprécie la solitude, on apprécie la compagnie des autres sa...
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