Je t'aime confusément dinguement et poliment. Patiemment je t'aime. Ce qui est important dans la vie c'est comment les tulipes poussent jaune au printemps sur les plateaux à plus de mille mètres. Ça c'est important. Quasi aussi important qu'un je t'aime. Parce que c'est dans la vie dans la maison et dans la semaine. C'est dedans tout ça, un je t'aime. C'est pas dans la bouche ou à peine. Je t'aime. Torridement dans le corridor. Tes fesses et mes fesses aussi s'aiment. Jubilantes mais galamment s'aiment, oui.
Cela m’énerve, puis cela m’indiffère, puis cela. Ce n’est pas dommage, ce n’est pas rien, ce n’est pas. Même pas ça, même pas toi, même pas moi. Tais-toi, tais-toi pas, et voilà. Il faut que, les gens sachent, les gens sachent. Que je ne peux, je ne peux, ne peux pas. Ce matin, l’an deux mille, une escalope. Est-ce que, c’est pratique, c’est pratique. Savoir parler, pas parler, ou parler mal. Que tu ne parles pas, avec ta parlance, ta consistance. Langage, langagier, langagière. Langouisse, lorguisse, janifère. Arrivouare, dadabare, jacassière. Globalibé, furgusse, et purpure. Et cela, d’autant plus que les zouzous n’ont pas de doudous. Que les papas n’ont pas de chats, les mamans pas d’enfants, et les putains, plus de clients. Ce qui fait que Les clients n’ont plus de putains, les cartons, plus de déménagement. Et moi je ne subis plus, ne subis plus. Les oiseaux n’ont plus de vol, les cahiers n’ont plus de dol. Les chiens n’ont plus de crocs, et moi j’en ai, et moi j’en ai. Mais mon
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