Il existe des cheveux sur cette terre qui sont sublimes, et ce sont les cheveux d’Emilio. Tignasse blonde incandescente, jungle accessible, cascade de femme sur une beauté d’homme. calme. non vraiment c’est sublime, ces cheveux, ces cheveux sont sublimes et ils sont à Emilio, et ils sont sur cette terre. et j’ai la chance de les voir. je ne les ai pas touchés. peut-être un jour mais en attendant, non. peut-être un jour aurai-je la chance de toucher ces cheveux sublimes. je ne sais pas, peut-être. heureusement il y a les peut-être. non vraiment quand je pense à ces cheveux de la couleur des foins je veux m’y allonger dessus. les cheveux d’Emilio sont sublimes et je ne les ai pas encore touchés, non je ne les ai pas encore touchés. c’est un fait. mais ils sont sur cette terre, ils existent et font exister mes yeux quand je les regarde. Il existe des cheveux sur cette terre qui sont sublimes, et ce sont les cheveux d’Emilio.
Cela m’énerve, puis cela m’indiffère, puis cela. Ce n’est pas dommage, ce n’est pas rien, ce n’est pas. Même pas ça, même pas toi, même pas moi. Tais-toi, tais-toi pas, et voilà. Il faut que, les gens sachent, les gens sachent. Que je ne peux, je ne peux, ne peux pas. Ce matin, l’an deux mille, une escalope. Est-ce que, c’est pratique, c’est pratique. Savoir parler, pas parler, ou parler mal. Que tu ne parles pas, avec ta parlance, ta consistance. Langage, langagier, langagière. Langouisse, lorguisse, janifère. Arrivouare, dadabare, jacassière. Globalibé, furgusse, et purpure. Et cela, d’autant plus que les zouzous n’ont pas de doudous. Que les papas n’ont pas de chats, les mamans pas d’enfants, et les putains, plus de clients. Ce qui fait que Les clients n’ont plus de putains, les cartons, plus de déménagement. Et moi je ne subis plus, ne subis plus. Les oiseaux n’ont plus de vol, les cahiers n’ont plus de dol. Les chiens n’ont plus de crocs, et moi j’en ai, et moi j’en ai. Mais mon
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