Ce matin je me suis levée et je me suis dit que j'irai bien faire un petit plouf dans l'eau. Un petit plouf dans l'eau c'est bien, hein, ça sonne bien. "Petit plouf dans l'eau" ! Alors ben ce matin, un peu plus tard dans le matin je veux dire, j'ai mis le maillot de bain. Pour le faire, le petit plouf dans l'eau. J'avais froid et j'avais faim, qu'importe, direction dans l'eau pour le plouf ! Je m'approche, l'eau est propre, ouf. Je m'élance, sans les freins, je suis en l'air, je suis légère. Dans mon maillot de bain, je suis bien. Sans personne, je me trouve bonne, j'en frissonne. Attention, l'eau dessous moi est là : plouf.
Cela m’énerve, puis cela m’indiffère, puis cela. Ce n’est pas dommage, ce n’est pas rien, ce n’est pas. Même pas ça, même pas toi, même pas moi. Tais-toi, tais-toi pas, et voilà. Il faut que, les gens sachent, les gens sachent. Que je ne peux, je ne peux, ne peux pas. Ce matin, l’an deux mille, une escalope. Est-ce que, c’est pratique, c’est pratique. Savoir parler, pas parler, ou parler mal. Que tu ne parles pas, avec ta parlance, ta consistance. Langage, langagier, langagière. Langouisse, lorguisse, janifère. Arrivouare, dadabare, jacassière. Globalibé, furgusse, et purpure. Et cela, d’autant plus que les zouzous n’ont pas de doudous. Que les papas n’ont pas de chats, les mamans pas d’enfants, et les putains, plus de clients. Ce qui fait que Les clients n’ont plus de putains, les cartons, plus de déménagement. Et moi je ne subis plus, ne subis plus. Les oiseaux n’ont plus de vol, les cahiers n’ont plus de dol. Les chiens n’ont plus de crocs, et moi j’en ai, et moi j’en ai. Mais mon
Commentaires
Enregistrer un commentaire