pour une fois les tâches ne sont pas dans mes yeux mais dans les champs on va sortir les rames toi et moi tu vas arrêter de chanter dans tes bars tout seul comme une étoile camée la seule autoroute qui existe est un chronomètre tu vis pour tes cordes tu ne les changes pas je veux que tu les changes il pleut du noir j'avale les gouttes je joue au billard tout roule et tout roule et tout roule et tout roule trop mal je t'entends encore chanter dans ton bar il y a de l'herbe sur le comptoir où poussent des eaux on a peur de notre lumière j'ai peur de ma lumière elle donne des ordres elle enfante des enfants lueurs qui fendent le noir les gouttes et la nuit j'arrive
On se retrouve à ouvrir les fenêtres des autres on shoote les oiseaux deux, trois comme pour mieux répartir le malheur. On range de fausses armoires qui ne contiennent que du rien beaucoup de rien toxicomanie du rien. On a de la musique dans le gun on le pointe sur les oreilles avec dans la bouche le gum c'est pour faire entendre comme les cœurs battent en chœur. Juste une petite menace comme ça on menace, on menace bien, mais seulement. Il n'y a que l'angle qui sera mort.